Déprescription : le casse-tête !

Des travaux récents menés par la Direction de la Recherche, des Etudes, de l’Evaluation et des statistiques (DREES) ont mis en évidence une situation paradoxale : si la très grande majorité des généralistes se « sentent à l’aise » avec l’idée de proposer de "déprescrire" les médicaments qu’ils jugent inappropriés, seuls 35 % d’entre eux déclarent le faire souvent ou très souvent.

Il apparaît en effet que de nombreux obstacles se dressent en travers de la route du praticien qui souhaite "déprescrire" une molécule à un patient.

Pour faire un tour d’horizon de ces difficultés et envisager des solutions, le JIM s’est entretenu avec l’un de ses auteurs les plus prolixes, médecins généralistes dans l’Eure, le Dr Roseline Peluchon.

Chapitres

Copyright © http://www.jim.fr

Réagir

Vos réactions

Soyez le premier à réagir !

Les réactions aux articles sont réservées aux professionnels de santé inscrits
Elles ne seront publiées sur le site qu’après modération par la rédaction (avec un délai de quelques heures à 48 heures). Sauf exception, les réactions sont publiées avec la signature de leur auteur.

Réagir à cet article