
L’OMS perd 50 % de ses contributions
L’ambassadeur de Chine rappelé à l’ordre
QH
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L'OMS est un ramassis de bureaucrates surpayés, dirigés par des politiciens nommés par les Etats pour défendre leurs intérêts géostratégiques.
Rien n'est jamais sorti de concret de cette énorme et dispendieuse agence de com'. Elle nous abreuve de slogans et de postures idéologiques douteuses, elle édicte des oukases envers la mal-pensance, elle s'arroge le droit de faire, à la place des sociétés savantes dont c'est la mission et la compétence, des recommandations alternativement redondantes ou contradictoires.
Dans toute son histoire, on ne peut que constater son inutilité. Son agitation permanente n'a fait qu'ajouter de la confusion à des problèmes sanitaires auxquels elle s'est révélée incapable d'apporter la moindre réflexion juste ni contribution réellement indispensable.
Il est temps de remplacer l'OMS par un simple fonds monétaire international pour la santé, confié à des gestionnaires avisés sans prétention pseudo-scientifique.
Dr Pierre Rimbaud
Si les médecines n'ont que rarement brillé dans la gestion de problème de ce type, elles ont surtout toujours eu, au début, une prétention maladive d'être celles qui savent ce qui doit être. Parfois, lors d'une crise grave, on a la chance de voir émerger une personne d'une qualité rare. Je pense à Dominique Dormont, mais on en dispose encore ?
S'il semble acquis que ce problème : une ex zoonose devrait imposer de regarder deux points:
- les lieux de commerce d'animaux de x espèces à l'hygiène discutable
- les usages des produits issus d'animaux d'animaux sauvages (exemple crotte de chauve souris) pour la fabrication de produits de médecine traditionnelle, même à usage oculaire
qui peut regarder cela au niveau supra national ?
Par des médecins, on avait appris, en 2006, par des contrôles sérologiques que le personnel de ces lieux était contaminé, mais depuis on n'a rien fait ?
Pour ne regarder que le dossier français, il se dit quoi au niveau de la médecine professionnelle, en ce moment ?
La bonne base conceptuelle pour aborder l'interdisciplinarité nécessaire est ceci: le concept One Health, un exemple (la figure 2) :
L'épidémie de SRAS-CoV-2 du point de vue d'une seule santé
https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2352771420300185?via%3Dihub
Une autre hypothèse est possible: les animaux de laboratoire fabriqués pour rendre possible ce que la Nature ne peut faire, dont la gestion est parfois étrange. Cela n'existe que dans les laboratoires ou ils peuvent aussi servir, même non contaminé au départ, pour nourrir des nouveaux animaux de compagnie ou servir de nouveaux animaux de compagnie ?
Donc on en retrouve que dans des laboratoires sécurisés ou ?
"En 2007, Stanley Perlman de l'Université de l'Iowa a fait exactement cela pour étudier le SRAS. Bien que le coronavirus du SRAS puisse infecter les souris par leur ACE2, ils ne développent que des symptômes bénins. Equipées de l'ACE2 humain, les souris succombent à une maladie cérébrale mortelle. Ce modèle a aidé à évaluer les vaccins et traitements potentiels contre le SRAS, et a également révélé l'impact des différentes réponses immunitaires.
Mais la demande pour les animaux modifiés a diminué après la fin de l'épidémie de SRAS en 2003, et Perlman les a donnés à Jackson Laboratory (JAX), le fournisseur de souris à but non lucratif de mammouth. Il a gelé le sperme des animaux et, depuis que le SRAS-CoV-2 est apparu, a couru pour reproduire la souris. «Nous avons reçu plus de 1 000 demandes à ce stade», explique Nadia Rosenthal, directrice scientifique de JAX.
Une équipe chinoise qui a également conçu des souris pour exprimer la protéine ACE2 humaine afin d'étudier le SRAS a gardé certains des animaux transgéniques et les a déjà infectés par le SRAS-CoV-2. Ils ont perdu du poids et montré des signes de pneumonie, mais pas grand-chose d'autre, ont rapporté Qin Chuan du Peking Medical Union College et ses collègues dans une prépublication publiée sur bioRxiv le 28 février. «C'est une maladie vraiment très, très, très légère», dit Perlman."
https://science.sciencemag.org/content/368/6488/221
Étude sur la sensibilité du furet, du chat, du chien et d'autres animaux domestiques au SRAS-CoV-2
http://www.hvri.ac.cn/xwzh/zhdt/231683.htm
Dr Bertrand Carlier (vétérinaire)