
Un sous-variant déjà majoritaire au Danemark
Quentin Haroche
Quentin Haroche
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Nous sommes fous:
La Covid est une zoonose
L'immunité collective est illusoire
La vaccination de masse ne fera q"augmenter les mutations par ailleurs inévitable
Il faut supprimer les élevages intensifs
Le Pfizer est le seul "traitement": Ce n'est ni un traitement, ni un vaccin
Nous avons grâce à la sainte technologie créé un "monstre" dont nous n'avons aucune donnée
Il est toujours en étude phase 3, ne bénéficie que d'une AMM conditionnelle et nous "vaccinons" des millions de personnes! en favorisant la mutation naturelle de ce virus!
Les effets antérieurs à J15 ne sont pas répertoriés, partant du principe que ce "vaccin" n'est efficace qu'à J15 grâce à l'apparition des ac neutralisants, nous entraînant à penser que les es ac facilitants ne puissent pas apparaître avant J15.
Tout cela pour tomber dans un entonnoir: pass sanitaire, puis vaccinal, au mépris des libertés de base.
Les principes déontologiques sont TOUS bafoués:
- Colloque singulier patient médecin: disparu
- secret médical bafoué
- consentement éclairé du patient
- droit au refus d'un traitement par un patient
- suppression de la liberté de prescription
- prescription obligatoire de masse d"un produit n'ayant pas d'AMM- exercice illégal de la médecine en permettant à n'importe qui de procéder à ces injections, sans dossiers, sans connaitre les ATCD.
Tout ceci dans un contexte gouvernemental de chantage qui n'a pas le courage de rendre cette "vaccination" obligatoire pour ne pas en avoir à en assumer les responsabilités.
- Création d'un "conseil secret défense" bidon composé de qui?, alors que nous ne sommes pas en guerre, permettant à nos dirigeants d"être à l'abri de toute poursuite pendant 50 ou 100 ans.
- Omerta totale sur des avis scientifiques non conformes à la Doxa, tout ceci devant le silence assourdissant du conseil de l'ordre!
On peut être pour ou contre, mais il y a des limites!
Dr Jean-Paul Vssse
Je rejoins l’avis du Pr Baudon. Si ce variant n’est pas jugé préoccupant, s’il n’est pas plus méchant qu’Omicron « non furtif », est-ce qu’on pourrait arrêter de compter les tests asymptomatiques voire même de tester les symptomatiques, ne regardant que la dangerosité, et revenir à la gestion classique de toute épidémie hivernale, qu’elle soit de grippe, rhinovirus ou même coronavirus, connu pour cela depuis longtemps ? Dans cette gestion il y a la vaccination et les gestes barrières. On s’attend à d’autres pandémies ; il faut apprendre à les gérer.
Dr Blandine Courtot
Merci au Dr Vssse(?) d’avoir pris la peine d’énumérer les principes d’éthique bafoués par nos dirigeants pour imposer un produit en cours d’expérimentation avec les conséquences dramatiques que nous connaissons et celles que nous ne connaissons pas encore...
Mais ont également été foulées au pied les lois, nationales, Européennes, Internationales, qui encadrent la recherche clinique, l’expérimentation chez l’homme, visiblement si peu connue de nos médecins...Dernière en date la Loi Jardé 2012: « aucune pression ne doit être exercée sur une personne se prêtant à une recherche médicale impliquant la personne humaine pour obtenir son consentement » ! Pour ceux qui ne le savent toujours pas, rapport final de l’essai Pfizer attendu pour Décembre 2023...
L’épidémie n’en était pas une, 600 000 malades en 18 mois ( réseau sentinelle site santé publique France) contre 800 000 infections grippales hiver 2018-2019. L’expérimentation vaccinale est un échec, les candidats vaccins n’immunisent pas, ils ne protègent pas des formes graves et ne font pas diminuer les hospitalisations : autant de vaccinés que de non vaccinés en soins critiques pour Covid au plan national (DREES Ministère de la santé pour Décembre 2021). C’est l’évolution naturelle du virus vers la bénignité qui l’a permis. Impossible à ce jour de démontrer le contraire faute de données robustes. Les études qui le prétendent ne sont que du marketing. Il faut du temps pour évaluer l’efficacité d’un traitement. Ça s’appelle un essai clinique. Et jusqu’en 2021, le jour où les médecins ont accepté d’injecter un produit expérimental à toute une population, y compris à des enfants, sans aucune évaluation pré ou post administration, les essais cliniques se menaient jusqu’à leur terme avant une potentielle commercialisation. Parfois un peu avant avec une autorisation temporaire d’utilisation nominative ou de cohorte, de façon très encadrée.
Savez vous que la majorité des essais cliniques sont négatifs ?
Tout le monde a aujourd’hui compris que tout avait pris des proportions follement disproportionnées mais les médias, grands responsables des dérapages, continuent de tenter de semer la peur. « Explosion » des « contaminations »... quel grand mot pour parler d’un test qui « aurait » détecté un bout de virus sans savoir s’il a infecté son hôte ou pas...
La peur pourtant est là, pas celle d’un virus bénin pour le plus grand monde, mais celle de la société que nous laissons se créer sans broncher.
Catherine Barrois (Chef de projet clinique)