Dix personnes ont été condamnées à des peines de quatre à six mois
de prison avec sursis pour avoir mené des "raids numériques" contre
des parlementaires et le médecin réanimateur Michel Slama,
qualifiés de "nazis". Les cyberharceleurs, réfractaires à la
vaccination anti-Covid, faisaient partie du groupe "ViVi" basé en
Italie, utilisant le canal Telegram pour coordonner des attaques
massives avec des commentaires malveillants et des photomontages
offensants.
Publié le 26/12/2023
Prison avec sursis pour des cyberharceleurs antivax
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