Prison avec sursis pour des cyberharceleurs antivax

Dix personnes ont été condamnées à des peines de quatre à six mois de prison avec sursis pour avoir mené des "raids numériques" contre des parlementaires et le médecin réanimateur Michel Slama, qualifiés de "nazis". Les cyberharceleurs, réfractaires à la vaccination anti-Covid, faisaient partie du groupe "ViVi" basé en Italie, utilisant le canal Telegram pour coordonner des attaques massives avec des commentaires malveillants et des photomontages offensants.

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