
Valoriser la parole scientifique
Quentin Haroche
Quentin Haroche
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Pour les non latinistes "voila une question débattue"...des hommes reptiles à la tête du JIM? depuis que j'ai relu un de mes "Blake et Mortimer" préférés (L'étrange rendez-vous) j'avoue que je me pose sérieusement la question…
Dr Jean-Marc Ferrarini
Que l'on fasse circuler des informations et des contre-informations pour établir ou rétablir ce que l'on estime être la vérité, je n'y vois aucun inconvénient.
Au public, qui n'est pas si bête, de trier entre le vrai et le faux ou tout au moins entre ce qu'il estime plausible ou non.
Je dis bien "plausible" et non pas "vrai".
En effet, est-il si sûr que la maladie de Lyme chronique n'existe pas?
Est-il si sûr que l'homéopathie n'est qu'un placebo?
Est-il si sûr que les vaccinations multiples sont sans danger? Voir :
http://initiativecitoyenne.be/2018/03/vaccins-un-rapport-parlementaire-italien-explosif.html
Est-il si sûr que les ondes électromagnétiques sont sans danger?
L'Académie de médecine a t-elle eu raison de dire à une époque que l'amiante était moins préoccupant que le tabac?
Ce n'est pas parce que quelque chose n'est pas encore "scientifiquement" prouvé que cela n'existe pas.
J'ai une méfiance profonde envers ceux qui voudraient nous asséner leurs vérités péremptoires.
Alors, le débat, oui. La censure, non. La loi contre les "fake news", surtout pas.
Ce serait la dictature de la pensée unique.
Dr Joël Delannoy