Sur le plan biologique, cela se traduit notamment par une chute du taux de BDNF que l’on peut objectiver dans les études cliniques. C’est dans le cadre de ce stress oxydatif que de nouvelles molécules sont testées, comme la N-acétylcystéine, avec des résultats encourageants. Parallèlement, l’acide acétylsalicylique, la minocycline, l’infliximab, le célécoxib et les statines qui agissent également sur la dysfonction mitochondriale ont laissé entrevoir de belles promesses, du moins sur modèle animal et dans des analyses de cohorte rétrospectives.
Dr Dominique-Jean Bouilliez