Déprescription : le casse-tête !
Interview du Dr Roseline Peluchon, médecin généraliste à Val-de-Reuil, Eure
Chapitres
Des travaux récents menés par la Direction de la Recherche, des Etudes, de l’Evaluation et des statistiques (DREES) ont mis en évidence une situation paradoxale : si la très grande majorité des généralistes se « sentent à l’aise » avec l’idée de proposer de "déprescrire" les médicaments qu’ils jugent inappropriés, seuls 35 % d’entre eux déclarent le faire souvent ou très souvent.
Il apparaît en effet que de nombreux obstacles se dressent en travers de la route du praticien qui souhaite "déprescrire" une molécule à un patient.
Pour faire un tour d’horizon de ces difficultés et envisager des
solutions, le JIM s’est entretenu avec l’un de ses auteurs les plus
prolixes, médecins généralistes dans l’Eure, le Dr Roseline
Peluchon.