Postulant le fait que l'exercice physique pouvait favoriser le développement précoce d'un pool de cellules quiescentes qui jouent un rôle dans la régénération tissulaire, une équipe mixte américano-polonaise a soumis 3 groupes de souris à 3 types d'exercice : court (1 jour), moyen (14 jours) et prolongé (6 mois) pour constater la véracité de leur hypothèse. En d'autres termes, l’exercice physique permet de disposer d'un pool non négligeable de VSELs (very small embryonic-like stem cells), susceptibles d’éviter une hémopathie maligne. Du moins si nous étions souris…
Dr Dominique-Jean Bouilliez