Grâce à la révolution contraceptive, il naît de moins en moins d’enfants non désirés. Les couples souhaitent désormais pouvoir choisir quand et combien d’enfants ils ont, cette possibilité devenant parfois une exigence. Les couples ayant des difficultés à concevoir, de plus en plus nombreux en raison du retard des maternités, se tournent de façon croissante vers la médecine pour avoir l’enfant désiré. Au moment où s’ouvre en France un débat public autour des lois de bioéthique, Elise de La Rochebrochard nous explique combien parmi eux bénéficient d’une fécondation in vitro chaque année, comment se situe notre pays par rapport à ses voisins européens, et quelles sont les perspectives ?
Voir : http://www.ined.fr/fichier/t_publication/1420/publi_pdf1_451.pdf