Internat : à la recherche du temps perdu
Interview de Jean-Baptiste Bonnet, interne en endocrinologie (Montpellier), président de l'InterSyndicale Nationale des Internes (ISNI)
Chapitres
La question du temps de travail des internes est peut-être aussi ancienne que l’internat lui-même et la presse médicale s’en fait régulièrement l’écho.
Ces dernières années, le problème semble de plus en plus prégnant notamment parce que les internes continuent à travailler entre 48 et 65 heures par semaine, sans rémunération des heures supplémentaires et avec des responsabilités écrasantes.
Se faisant machine à explorer le temps (parfois perdu), le JIM s’est entretenu avec le fraîchement élu président de l’ISNI (InterSyndicale Nationale des Internes), Jean-Baptiste Bonnet qui exerce à Montpellier en endocrinologie.