Paris, le mercredi 6 février 2008 – La question de l’observance des traitements se pose de façon cruciale face à une maladie telle que l’ostéoporose, qui n’est pas toujours associée à un bon respect des règles de prescription par les patientes. La situation a été l’objet d’une véritable prise de conscience de la part des laboratoires Procter & Gamble Pharmaceuticals et Sanofi Aventis qui ont créé, il y a plus de dix ans, l’Alliance pour une meilleure santé osseuse. Parmi leurs principales actions, figure la mise à disposition à l’intention des femmes ménopausées ostéoporotiques de deux outils destinés à améliorer la prise régulière de leurs traitements. Le boîtier Mem’Os, qui rappelle chaque semaine aux femmes de prendre leurs médicaments et une brochure d’information évoquant l’importance d’une bonne observance ont ainsi été développés.
Simplicité
Dans cette même perspective, vient très récemment d’être lancé Actonelcombi, qui associe dans le même conditionnement du risédronate 35 mg en comprimé et des sachets de calcium-vitamine D3 aux doses respectives de 1 000 mg et de 880 UI. La spécificité d’Actonelcombi réside sur « un schéma thérapeutique simple », puisqu’il consiste à prendre une fois par semaine un comprimé de risédronate et tous les autres jours de la semaine un sachet de calcium-vitamine D3. Cette présentation pourrait permettre non seulement de limiter les risques d’oubli grâce à ce principe d’une prise quotidienne, mais aussi d’offrir à un plus grand nombre de femme les bénéfices liés à une supplémentation en calcium et vitamine D. Une récente méta-alanyse publiée dans le Lancet, qui incluait 29 essais randomisés a en effet confirmé que la réduction du risque de fracture atteint 24 % chez les femmes qui se supplémentent correctement, par rapport aux patientes « non supplémentées ».
Explications
Décliné en quatre sous-conditionnements, Actonelcombi s’accompagne d’explications claires et concises. Il est indiqué dans le traitement de l’ostéoporose post-ménopausique pour réduire le risque de fracture vertébrale et dans le traitement de l’ostéoporose post-ménopausique avérée pour réduire le risque de fracture de hanche.
A.H.
