
55 % des personnes hospitalisés sont vaccinés
Plus d’1 millions d’Israéliens triplement vaccinés
Quentin Haroche
Quentin Haroche
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Il est cocasse de voir les dirigeants israéliens près à remettre en place les mesures qui ont fait la preuve de leur inutilité : masques, confinement et vaccins !
Une troisième dose de vaccin contre un virus qui a disparu, le chinois du départ, en sachant que c’est inefficace sur les variants c’est quasi surréaliste un véritable non sens que ne désavoueraient pas les Marx brothers !
Dr Jean-Marc Rehby
ces dernières données confirment ce que l'on sait déjà :
- le vaccin ne protège pas complètement
- même vaccinée la population présente toujours un risque de contamination
- donc par déduction :
- même imparfait c'est mieux avec vaccin que sans vaccin , et pour la population en général et pour les malades
- les mesures barrières restent une valeur sûre : passe, masque , ...et même le confinement.
- l'efficacité du vaccin se heurte au "plafond de verre" : les foyers de non vaccinés sont toujours présents, ce sera intéressant de voir si la vaccination des non refractaires (adolescents, enfants, 3eme dose chez les vieux (50 ans ?) permet de contrer ces poches de résistance au vaccin.
Et encore une fois merci à Israël de nous faire partager leurs données (en lesquelles j'ai confiance).
Dr F Chassaing
Il n'en reste pas moins que 55% des hospitalisés vaccinés devrait interroger sur l'efficacité du vaccin à ARN qu'on nous vantait comme efficace à 95% ! En tout cas il semble d'une efficacité très limitée dans le temps. On aimerait mieux comprendre pourquoi ces 55% de vaccinés font une forme relativement sévère (baisse du taux d'AC neutralisants chez ces patients ?).
Dr Pierre-André Coulon
Dr Rehby dites nous quelles mesures prendre puisque vous dites que les israéliens vont: « remettre en place les mesures qui ont fait la preuve de leur inutilité : masques, confinement et vaccins ».
Vous devez avoir la solution…. Et quelles preuves vous avez de leur inutilité ?
Dr Bernard Stephani
Dans la tranche d'âge de population à risque d'hospitalisation pour Covid, 90% de vaccinés: à la louche, le risque d'être hospitalisé est 8 fois plus important pour les non-vaccinés.
Il n'empêche que c'est une démonstration de l'incapacité des vaccins actuels à empêcher la circulation du virus.
La question se complique encore si l'on tient compte de sa circulation dans le monde animal (40% des cerfs nord-américains présentent des anticorps anti Sars cov 2) qu'il est bien entendu impossible de vacciner.
Si l'on rajoute le problème des anticorps facilitants qui augmentent le risque de complications lorsque l'immunité post-vaccinale ou post maladie naturelle diminue, nous sommes loin d'être tirés d'affaire !
Dr Jean-Jacques Perret
Comme d'habitude, les surpromesses pharmaceutiques et l'engouement déraisonnable pour la médicamentation trouvent ici leur limite.
Les vaccins ont démontré seulement leur capacité à diminuer fortement l'incidence des formes graves aux cours du semestre suivant leur administration - mais non à l'abolir cette incidence, et avec une efficacité qui diminue fortement avec le temps. C'est déjà beaucoup.
Mais c'était une grave erreur de laisser croire qu'ils auraient le pouvoir de "venir à bout du coronavirus". Le vaccin empêche qu'un grand nombre de personnes en meurent, mais il n'arrête nullement sa circulation, ni la sélection adaptative de ses mutations. Ce qui freine le mieux la circulation virale, c'est:
1) l'isolement strict des personnes qui ont été à son contact,
2) le port minutieux de masques en promiscuité,
3) la tenue de réunions réservée aux personnes à faible risque contagieux dans des lieux bien aérés.
Il faut malheureusement se contenter d'une application très imparfaite par la population de ces mesures d'hygiène sociale difficiles à faire respecter. La vaccination est une mesure fortement synergique avec ces mesures, mais croire qu'elle peut s'y substituer est une erreur funeste, comme le confirme ce qui se passe dans plusieurs pays.
Compte tenu des savoirs que nous commençons à accumuler petit à petit, la question est désormais de savoir comment envisager l'avenir. La démographie et le mode de vie mondialisé de l'espèce humaine promettent des crises pandémiques récurrentes dont le sarscov n'est qu'un exemple.
Comme pour le réchauffement climatique, les pollutions chimique et plastique, les dévastations environnementales, il serait bien fâcheux qu'on ne tire pas les leçons des événements. Ne nous abusons pas avec la croyance en des solutions miraculeuses qui nous libéreraient de tout effort. Il est temps d'ouvrir les yeux sur une réalité désagréable, et d'anticiper la nécessaire adoption par les générations futures de comportements nouveaux et pérennes.
Ou bien l'on peut dire comme la Pompadour "après nous, le déluge".
Dr Pierre Rimbaud
La vaccination ça ne marche donc pas ?
Les gestes "barriere" ça ne marche donc pas non plus.
Reste le confinement...à la demande. C'est pas une vie.
En fait toutes ces stratégies de médecine "préventive" ne marchent pas, le virus ayant toujours en temps d'avance sur ces strategies défensives.
Pourquoi ne reviendrait on pas à notre bonne vieille médecine "curative"? Pourquoi cette absence criante de recherche sur de nouveaux antiviranx? Pourquoi le moindre essai thérapeutique de la moindre molécule à caractère antiviral est il décrié? Pourquoi l'absence d'informations sur les éventuelles recherches en cours, s'il y en a?
Je pose les questions qui fâchent?
Dr Jean-Pierre Massol
Les vaccinés peuvent transmettre la covid, mais infiniment moins que les non vaccinés.
Par ailleurs, les vaccinés font infiniment moins de formes graves que les non vaccinés.
C'est pourtant simple à comprendre, trop sans doute, y compris pour des médecins.
Dr Alexandre Krivitzky
Pour le Dr Rimbaud (à moins qu'il ne s'agisse du Dr Verlaine).
On peut gloser beaucoup sur le vaccin, les variants, les masques ... mais la citation est attribuée à Mme Dubarry et non à Mme Pompadour.
Dr Jean-Fred Warlin
A vos commentaires "infiniment "généraux sur les vaccins, vous devriez considérer que le vaccin n'est pas un remède miracle contre les infections virales et bactériennes. En plus comme pour d'autres vaccins que celui minimaliste anti S du coronav cov2, lesdits vaccinés ont reçu une, deux et bientôt trois injections,
Mais on ne connaît pas leur taux d' Ac antiS et si ceux ci neutralisent le virus circulant, et de ce fait protègent à 90, 95, 99% les personnes infectées. A ce titre les derniers articles parus dans le Lancet ou le NEJM indiquent que la protection ne dépasse pas 60 à 75% chez les vaccinés versus les non vaccinés, et que ces personnes peuvent être surinfectées, deux à trois moins que les non vaccinés, certes, mais pas infiniment moins comme vous l'ecrivez.
Restent à évaluer sur le long terme le bonus apporté par ce vaccin anti S chez les Seniors de 75 ans et plus, en ayant procédé à des études physiopathologiques dignes de ce nom, basées sur des cohortes représentatives de seniors, ceux et celles ne souffrant d'aucune comorbidite, puis ceux souffrant de pathologies respiratoires (tabac, pollution), ceux souffrant d'hypertension, d'obésité. À ce moment on pourra réellement estimer la valeur sanitaire de ces vaccins antiS cov2 à court et moyen termes.
Infiniment de travaux et de résultats en attente de validation par des comités éditoriaux sans conflit d'intérêt.
Dr JLDX virologue, "reviewer" et coediteur en virologie et immunologie