L’association des Élus Locaux Contre le Sida (ELCS) a alerté le Conseil national du sida sur les difficultés rencontrées par plusieurs familles lors du décès de personnes infectées par le VIH. Très récemment, les proches d’une personne décédée n’ont pu avoir immédiatement accès au corps car les services médicaux ont refusé de le confier aux pompes funèbres en raison d’une suspicion d’infection au VIH. Pour justifier la rétention du corps pendant de longues heures, le personnel médical a invoqué la règlementation en vigueur qui interdit la pratique de soins de conservation sur les personnes décédées d’une infection au VIH.
La mort contaminée
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