Lueurs à l’horizon pour la fibrose pulmonaire idiopathique

La fibrose pulmonaire idiopathique (FPI) est due à des interactions anormales entre l’épithélium alvéolaire et les foyers fibroblastiques dans un contexte de susceptibilité génétique et de facteurs favorisants (tabagisme). Une dyspnée et des râles crépitants aux bases doivent alerter ; la tomodensitométrie confirme le diagnostic. En mars 2012, Esbriet (pirfénidone) a obtenu l’AMM pour le traitement de la FPI légère à modérée ; il permet de préserver, quoique modestement, la fonction respiratoire. On attend les résultats d’études de phase III pour le nintédanib (Vargatef), un inhibiteur de tyrosine kinase.

Claude Demare

Référence
Maladies rares en pneumologie : dernières avancées de la recherche. Info Presse réalisée avec le Pr B. Crestani (Bichat). Congrès de Pneumologie de Langue Française (Paris) : 1er-3 février 2013.

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