Claude Demare
Publié le 14/05/2013
Lueurs à l’horizon pour la fibrose pulmonaire idiopathique
La fibrose pulmonaire idiopathique (FPI) est due à des interactions
anormales entre l’épithélium alvéolaire et les foyers
fibroblastiques dans un contexte de susceptibilité génétique et de
facteurs favorisants (tabagisme). Une dyspnée et des râles
crépitants aux bases doivent alerter ; la tomodensitométrie
confirme le diagnostic. En mars 2012, Esbriet (pirfénidone) a
obtenu l’AMM pour le traitement de la FPI légère à modérée ; il
permet de préserver, quoique modestement, la fonction respiratoire.
On attend les résultats d’études de phase III pour le nintédanib
(Vargatef), un inhibiteur de tyrosine kinase.
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