La péri-ménopause est une période charnière en termes de perte osseuse. Elle se traduit par une perte osseuse corticale plus importante que la perte osseuse trabéculaire. Mais cette perte est compensée par une apposition périostée telle que l'index cortical n'est pas modifié en préménopause avec cependant une augmentation de porosité de l'ordre de 0,2 à 0,3 DS. Ce qui pourrait expliquer la fréquence des fractures du poignet en préménopause…
Dr Dominique-Jean Bouilliez