Dans le cadre d'un suivi longitudinal pouvant attendre 4 ans et
demi, des investigateurs canadiens confirment que l'existence de
facteurs de risque cardiovasculaires affecte la vitesse des
modifications cognitives chez les personnes âgées sans démence ni
déficit cognitif léger. Les domaines les plus touchés sont la
mémoire visuelle, les fonctions exécutives et les aptitudes
visuo-spatiales qui se dégradent de façon plus rapide et plus
prononcée chez les sujets avec plus de deux facteurs de risque
cardiovasculaires.
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