La mesure des composés organiques exhalés pourrait être un outil intéressant dans le diagnostic des pathologies pulmonaires. La technique est simple et semble efficace selon une étude australienne : l’analyse de l’air expiré a permis de différencier des patients ayant un cancer du poumon de patients non fumeurs en bonne santé et de fumeurs anciens ou actuels.
Des études à plus vaste échelle sont nécessaires pour apprécier les conséquences des antécédents de tabagisme sur les résultats obtenus.
Dr Geneviève Démonet