
De la fascination morbide à une amplification inquiétante
L’excuse indigne de l’humour
Des sanctions attendues
Aurélie Haroche
Aurélie Haroche
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De mon temps, on cassait la gueule du crétin... et on recommençait si nécessaire (en amphi ou TP également!) et on avait la paix pour longtemps...Au Lycée, cela avait été pareil dans les années 50/58...En 1955/56 en classe de Latin, j'avais "fayot du premier rang"! boxé sans avertissement et renversé de sa chaise, un deuxième rang, juste derrière moi, violent-emmerdeur déjà spécialisé (!) qui m'avait insulté; en rigolant bien sûr!! Le prof de Latin effaré a eu mon explication de motivation... et le Yvon s'est rassis,en silence rassis et tout est rentré dans l'ordre !
Je crois que les juifs non sionistes qui sont encore là ...n'ont pas bien compris... et sont moins courageux que nous ne l'étions, apparemment?
Dr B
Bien sûr, Dr. B., ça peut constituer une solution efficace et dissuasive et, la discussion argumentée étant d'un rendement plus qu'hypothétique avec ce genre de crétins malfaisants, ce n'est pas le prof d'arts martiaux que j'étais, parallèlement à mon métier de soignant, qui vous jettera la pierre.
Mais ça c'était le temps de notre jeunesse et les choses ont bien changé depuis, même si la connerie continue de bien se porter, exacerbée et démultipliée par les "Zéro-sociaux". C'est ainsi que, vis-à-vis de la "Justice", il vaut mieux pouvoir apporter la preuve incontournable de la "légitime défense" si l'on corrige un de ces crétins par cette méthode qualifiée de "Far West". De plus, comme ces grands "courageux" agissent rarement seuls, il vaut mieux "avoir des épaules" ou, comme vous le dites, du courage.
Alors, une question se pose impérativement aux autorités universitaires: le racisme, l'antisémitisme, l'homophobie et autres comportements haineux sont-ils compatibles avec la prétention à devenir médecin ou même professionnel de santé, plus largement. Au regard de ce que doit recouvrir le titre auquel nous postulons, ces tares ne devraient-elles pas être considérées comme rédhibitoires, comme des cas d'inaptitude à ces professions?
H.Tilly, IDE MKDE
Merci à H.Tilly pour cette conclusion que beaucoup de professionnels de santé devraient adopter.
JP.Olu