
Le cas de Caster Semenya, l’athlète sud-africaine, sacrée sur
800 mètres aux Jeux Olympiques de Rio en 2016, a défrayé la
chronique et clairement illustré les difficultés de l’athlétisme et
de ses instances dirigeantes à gérer le dossier sensible des
sportives qui produisent trop d’androgènes. C’est dans ce cadre
qu’Angelica Lindén Hirschberg de l’institut Karolinska à
Stockholm a présenté un état des lieux de la question au cours du
21e congrès d’endocrinologie qui s’est
déroulé à Lyon du 18 au 21 mai.
Plus de 4 000 spécialistes de l’endocrinologie étaient
présents lors de cette manifestation et bien évidemment d’autres
sujets ont également fait la UNE…
Bonne lecture !