Claude Demare
Publié le 19/02/2013
Statut HER-2 et chimiothérapie néoadjuvante
Ce travail mené par l’Institut Montsouris et l’hôpital
Saint-Antoine a permis d’étudier, à partir de l’analyse de biopsies
et de pièces opératoires, le statut HER-2 de patients ayant un
adénocarcinome gastrique, traité ou non par chimiothérapie
néoadjuvante. Les résultats montrent que le statut HER-2 peut être
sous-estimé s’il est déterminé sur pièce opératoire après une
chimiothérapie néoadjuvante. Après chimiothérapie néoadjuvante,
l’analyse sur biopsie est plus contributive que celle des pièces
opératoires pour identifier HER-2 (18,1% versus 16,5 %), et c’est
l’inverse en l’absence de chimiothérapie néoadjuvante (13,5 vs 24,3
%).
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