
« Couloir de la mort »
Quentin Haroche
Quentin Haroche
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Triste que parents et sœur de la victime n'aient pu faire évoluer leur attachement malgré les années (et plus qu'agacé par la rhétorique pitoyable de leurs avocats avec leur "couloir de la mort", mériteraient une sanction pour démagogie minable. Dans ma dictature, les avocats faisant leur beurre sur nombre de supposées fautes médicales et consorts seraient radiés et bannis : on retrouverait un climat de travail plus sain et limiterions les inutiles dépenses-parapluie), mais soulagé pour M. Lambert, ses proches compréhensifs et les soignants que l'on cesse enfin cet absurde feuilleton, bien représentatif de notre capacité à perdre le bon sens dans des arguties soi-disant morales.
Dr Felix Galeyrand
Vous parlez d'un "arrêt des soins au regard de la loi Claeys-Leonetti sur la fin de vie", mais Vincent Lambert n'est pas en fin de vie... sauf si on le prive d'alimentation et d'hydratation ou si en plus, alors qu'on parle d'un "arrêt des traitements", on le "place en sédation profonde" dont il n'a nul besoin puisqu'il n'est pas agité, ce "traitement" n'ayant pas d'autre but que de hâter sa mort.
Dr Michel de Guibert
V. Lambert ne reçoit aucun soin médical. On se borne, et c’est bien moindre, à l’alimenter et à l’hydrater, ce qu’on ne refuse pas à un assssin ou à un terroriste…
Dr Serge Brisson