
Créé en 1976, l’Institut Benjamin Delessert a deux
missions. Par ses journées d’information, il participe à la
diffusion des connaissances nutritionnelles auprès des
professionnels. Par l’attribution de prix, il soutient la recherche
scientifique et médicale dans le domaine de la nutrition.
Ces deux objectifs étaient parfaitement illustrés lors de
la Journée Annuelle Benjamin Delessert (JABD) qui s’est déroulée le
4 février dernier à Paris. Comme chaque année, la matinée était
consacrée à un point sur les avancées scientifiques sur un thème
d’actualité dans le domaine de la nutrition. Cette année le thème
était le jeûne (La
tentation du jeûne peut-elle être encouragée ?). Au cours de la
session de l’après-midi étaient abordés des sujets liés à la
pratique et la prise en charge nutritionnelle en lien avec
l’olfaction (L’olfaction,
au cœur de l’expérience culinaire).
Les intervenants
Pour aller plus loin : c’est ici ou ici
- Claude Fischler – Introduction
- Tristan Fournier – Sociologie de la promesse du jeûne
- Florian Atger – Chronobiologie et maladies nutritionnelles
- Anaïs Briot – Le jeûne : une approche pour restaurer la flexibilité métabolique ?
- David Jacobi – Pour ou contre le jeûne intermittent chez l’Homme ?
- Philippe Pouillart – Jeûne et cancer
- Prix Benjamin Delessert : Nicole Darmon – La nutrition quantitative en action
- Loïc Briand – Goût et olfaction
- Justin Michel – Troubles de l’olfaction et du goût dans la Covid-19
- Prix Jean Trémolières : Marine Mas – Des odeurs alimentaires pour comprendre l’influence d’un environnement obésogène sur notre cerveau
- Prix Jean Trémolières : Kenza Drareni – Liens entre les
altérations sensorielles et la modification des comportements
alimentaires des patients sous chimiothérapie
Pour aller plus loin : c’est ici ou ici