
Comme chaque année, l’EULAR a traité le large spectre des maladies rhumatologiques, faisant la part belle aux innovations, et mêlant les données de la science fondamentale, les expériences cliniques, les présentations d’abstracts, de cas cliniques, les ateliers, et les sessions de groupes.
Le traitement des maladies inflammatoires rhumatismales chroniques s’est taillé la part du lion, avec de nombreuses études « en vie réelle » consacrées aux traitements par biosimilaires. Elles permettent d’établir les profils d’efficacité et de tolérance des biosimilaires chez des patients tels qu’ils se présentent dans la pratique quotidienne et représentent donc un intérêt à la fois pour la recherche et pour le praticien.