
Nonobstant les récentes dispositions du parcours de soins, (et qui ont quelque peu malmené les spécialistes libéraux), les dermatologistes restent souvent en première ligne non seulement pour le diagnostic des dermatoses banales et moins banales mais aussi pour déceler des marqueurs cutanés de pathologies systémiques, infectieuses, endocriniennes, cardiovasculaires ou autres.
C’est ce qu’illustre en tout cas le choix de ces quelques communications des dernières journées dermatologiques de Paris, dont cette version 2006 fut comme à l’accoutumée très riche d’enseignements.