
En 1889, il y a donc 130 ans, se tenait le premier congrès
international (ne disons pas mondial) de dermatologie à Paris
regroupant quelques grands noms…des maladies de la peau (une
centaine d’hommes blancs en habit et cravate portant moustache et
barbe).
Tout était à faire depuis la description des dermatoses
jusqu’aux premières tentatives thérapeutiques. Et de fait, les
bases de données étaient vides. Et nous voici pour cette
24e Édition du congrès mondial de dermatologie à Milan
au Mico, palais des congrès hautement futuriste, temple de la
technologie moderne (60 à 70 % de femmes, multiethnicité,
basquettes et tablettes). Mais là encore tout est nouveau : de
nouvelles molécules pour le psoriasis et la dermatite atopique
notamment, de nouvelles techniques d’investigation, de nouvelles
approches non invasives en cosmétologie… A l’ombre de Leonardo da
Vinci, génie et visionnaire, l’intelligence artificielle nous
promet de belles envolées diagnostiques de l’autre côté du castello
sforzesco et du Duomo où la statue de saint Barthélémy portant sa
peau d’écorché, veille comme un signe prémonitoire. La dermato se
fait une nouvelle peau…
Compte rendu opératoire.
Attention : ceci est un compte-rendu et/ou résumé
des communications de congrès dont l’objectif est de fournir des
informations sur l’état actuel de la recherche ; ainsi les données
présentées sont susceptibles de ne pas être validées par les
autorités françaises, et ne doivent donc pas être mises en
pratique. Ce compte-rendu a été réalisé sous la seule
responsabilité du coordinateur, des auteurs et du directeur de la
publication qui sont garants de l’objectivité de ces informations.
Certaines données peuvent ne pas avoir été validées par les
autorités de santé françaises, ne pas figurer dans l'AMM du produit
et ne doivent pas être mises en pratique.
Avec le soutien institutionnel de LEO
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